Florent et sa vision du consulting

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Florent, jeune cadre de 32 ans, consultant chez ALFI depuis plus de 2 ans.

À travers ce témoignage, Florent nous explique sa vision du consulting et en quoi consiste son métier.

Quel est ton parcours scolaire / professionnel ?

Je suis diplômé d’un master en finance et j’ai débuté ma carrière comme consultant AMOA chez SGSS avant d’évoluer comme coordonnateur de projet chez CACEIS. J’ai intégré ALFI en 2017 pour participer à un gros projet de migration du système informatique du client SFIL. 

À travers ce poste, j’ai réalisé 3 missions successives : la migration de produits dérivés, la data quality puis l’accompagnement des opérationnels lors de la phase de post mise en production.

Actuellement, je suis chez BP2S en MOA sur un outil de réception, transmission d’ordres de souscriptions et rachats.

Que voulais-tu faire après tes études ?

En master, j’ai eu l’opportunité de découvrir la gestion de fonds à l’occasion d’un stage dans une petite, mais très formatrice société de gestion strasbourgeoise. 

Je suis ensuite intervenu comme stagiaire au middle office produits dérivés chez Amundi Asset Management puis chez Groupama AM. 

Ces expériences m’ont naturellement conduit à m’orienter vers l’asset management, un environnement que j’apprécie particulièrement pour son côté intellectuellement enrichissant. 

Je visais tout d’abord un poste d’assistant gérant. À cette époque ci, j’ignorais encore que je pouvais m’orienter vers du projet.

Comment et quand as-tu découvert le consulting ?

J’ai découvert le consulting lors de la recherche de mon premier emploi. A l’époque, j’ignorais globalement tout de ce métier, à part celui de consultant auditeur par la réputation des Big 4.

Ta vision du conseil a-t-elle évolué au fil des années ?

Evidemment ! En n’ayant aucune connaissance sur ces métiers, ma vision du métier ne pouvait qu’évoluer. Après cinq ans d’expérience dans le conseil, je vois aujourd’hui le consulting comme un bon socle d’apprentissage pour un jeune diplômé.

Cela permet de découvrir des environnements riches techniquement et fonctionnellement, mais également d’apprendre les bases de la gestion de projets, tout en étant confronté à des situations variées, et souvent compliquées. Toutes ces missions sont donc très intéressantes.

Selon toi, quels sont les avantages à devenir consultant ?

Le vrai plus du conseil est la possibilité de monter rapidement en compétences tout en ayant la possibilité de découvrir régulièrement de nouveaux environnements clients dans lesquels on découvre de nouvelles façons de travailler. Chaque nouvelle mission est un nouveau challenge.

Si tu devais décrire les missions d’un Business Analyst/MOA pour une personne qui n’y connait strictement rien, que dirais-tu ?

Selon moi, le BA est celui qui va assurer le lien entre les opérationnels/métiers et les développeurs. Il sera là pour traduire les besoins métiers auprès de la maîtrise d’oeuvre qui sera là pour les développer et livrer la solution. 

Cela se transcrit par la recherche et la compréhension du besoin, la rédaction des spécifications fonctionnelles, la réalisation des tests, puis le suivi et la mise en production, tout en effectuant la documentation et enfin la formation auprès d’utilisateurs.

Ce poste a l’avantage d’être très varié, en contact avec différents interlocuteurs tout en respectant les différentes étapes très cycliques du mode projet.

Existe-t-il une journée type ? Si oui, à quoi ressemble-t-elle ?

Pas vraiment. L’organisation d’une journée peut être liée soit à la situation du moment, soit au déroulement du projet et aux types d’outils concernés. 

Il y a des périodes de rédactions de spécifications qui vont demander beaucoup de réunions. Nous avons aussi des périodes de recettes qui impliquent de manipuler davantage et de tester le ou les outils liés aux évolutions. 

En ce qui concerne les périodes de post-livraison, elles nécessitent d’effectuer des formations et de l’accompagnement auprès des opérationnels, et potentiellement corriger les anomalies.

Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?

J’affectionne tout particulièrement de découvrir de nouveaux environnements techniques et fonctionnels.

De plus, j’apprécie de monter en compétences et d’apporter des solutions aux divers sujets rencontrés, qu’il s’agisse des évolutions ou des correctifs d’anomalies.

Comment as-tu intégré ALFI ?

J’ai intégré ALFI en 2017. À l’époque j’étais déjà salarié d’un autre cabinet de conseil ,mais je cherchais un cabinet plus humain que la société dans laquelle je travaillais. 

En déposant mon CV sur l’APEC, j’ai rapidement eu l’opportunité de pouvoir être contacté par une chargée de recrutement de chez ALFI. Le courant est très bien passé lors des entretiens. 

La chargée de recrutement m’a présenté la société et celle-ci était en total accord avec mes attentes sur les sociétés de conseil, tant au niveau de la qualité des missions que de l’accompagnement quotidien.

Comment vois-tu ton évolution en tant que consultant au sein de ALFI ?

Pour le moment, je souhaite continuer dans la Maîtrise d’Ouvrage afin de monter plus en compétences, que ce soit sur ce poste ou en environnement technico-fonctionnel. 

Par la suite, je me vois évoluer, si possible, vers des postes de coordination de projets.

Tu as déjà eu l’occasion de participer aux divers événements alfiens, comme la Festiv’Alfi par exemple, cet été ?

Effectivement, depuis que je suis dans l’entreprise, j’ai eu l’occasion de participer à plusieurs AfterWorks, sessions de sensibilisations et soirées annuelles chez ALFI. 

À chaque fois, c’était des ambiances différentes, et toujours dans la bonne humeur !

Quels conseils peux-tu donner aux étudiants de l’ESILV ?

Je conseille aux étudiants de l’ESILV de rester ouverts sur les opportunités de missions que peut offrir le consulting, et en même temps de rester attentifs à ce que cela peut leur apporter en termes d’expériences, de plan et d’évolutions de carrière.

Merci Florent pour ce partage !